Contrôle d'identité

Siméon Henry de Buzardy, baron de Buzardy et général des armées du Midgard

" Camarade Dubousin !"

Le sergent Dubousin fut surprit d'apercevoir aussi loin de ses terres gelées le glorieux Cosaque Kazimir, rencontré une semaine plus tôt à Novograd. L'homme était à cheval, accompagné de deux autres cosaques et d'un homme enchainé.

" Ce chien de Kolskoïste faisait de la contrebande de mousquets sur les terres impériales, mes hommes et moi le chassons depuis près d'une semaine. Je suis dans l'obligation de traverser les terres midgardienne afin d'emmener ce criminel dans les Goulags de Koronov..."

Il pris un air plutôt ennuyé "...ou tout du moins jusqu'à Vaslow, le temps que nous rebâtissions nos glorieux goulags pour criminels récalcitrants. Le froid et les vents glacés de Koronov ont toujours été bénéfiques pour les esprits malades des révolutionnaires"

"Or donc sergent Dubousin, c'est entendu ? puis-je avoir un laisser passer en bonne et due forme ?".

**Un gros type, l'air peu motivé, portant un équipement de facture médiocre qui glandait à la frontière, le torse gonflé d'autorité même s'il pataugeait dans la merde. Oui, tout cela répondait à la description de Dubousin.

Manque de chance. L'homme interpellé, bien qu'il portait les couleurs de la milice cendre-azur, le détrompa immédiatement.**

"-Nan ... Caporal Lapompe. Il est parti Dubousin. Pschiiit, en terres de feu."

**Il mima avec sa main crasseuse un envol. Et il rajouta sans grande conviction.**

"-Puissent les dieux nous le ramener comme on dit, hein ? Bon, vous autres Yanoviens avez en effet le droit d'circuler sur le territoire du Midgard.

Mais avant ça, vous allez quand même passer un contrôle de routine, parce que toutes les règles du Midgard s'appliquent : Pas de marchandise illégale :Cadavres, drogues, pierres magiques, reptiles pourvus de carapaces vivants ou morts. Vous connaissez la musique.

Ensuite on va voir si vous êtes vraiment des Yanoviens. N'importe quel glandu peut v'nir à la frontière et s'faire passer pour un Yanovien. Alors on vous priera d'répondre à une enquête de moralité à ce sujet. (Vous devriez nous r'mercier qu'on empêche les gens d'vous usurper.)

Et enfin, pour votre criminel ... hum ... Il a pas l'air méchant, mais on va quand même signer quelques bricoles officielles pour s'assurer qu'vous l'relachez pas dans notre pays et nous permettre de l'identifier. Il est marqué au fer rouge quelque part pour montrer que c'est un criminel ?  Des contrebandiers, on en veut pas sur le territoire. Une fois arrivé chez vous, vous le gardez. Si on le trouve à traîner au Midgard après le premier voyage, non seulement on l’écartèle, mais on vous tiendra pour responsables de ses méfaits.

Enfin, si vous avez b'soin d'un endroit où le détenir en attendant votre reconstruction, on a l'bagne de Morneval qui peut accueillir du monde. Tant qu'vous le nourrissez, on peut vous garder votre gugusse."

Salut milicien,

Vicomte Shaine Stormhold de la Pleur Carmine, je reviens de la Sérénissime, je suis attendu par ma sœur, la Comtesse. Je pense d’ailleurs que cette escorte est pour moi.

*il avance, les miliciens se mettent au garde à vous à son passage*

Deux hommes se présentèrent à la milice du poste frontière de Bain Sanglant.
Le premier, assez grand, blond, aux cheveux très courts; était accompagné d'un homme loup. Chacun chevauchait un cheval noir parfaitement entretenu.
Sur la selle, se trouvaient deux pistolets chargés dans leur foureaux, et les deux cavaliers portaient chacun un épée à la ceinture.

Le harnais de la monture du premier homme était décorée sobrement, mais trahissait sa bonne naissance.
Tous deux portaient la casaque reconaissable entre milles, des gardes de Brumeval.

Une fois arrivés à hauteur des miliciens, l'homme bête s'avança vers le responsable du poste de milice, puis, lui annonça:
"Chevalier Alexis de Mauchamps et son aide de camp, Selius."
Puis, sortant un parchemin cacheté du sceau du Bailli,
"Voici notre ordre de mission."

Le milicien en poste, regarda Selius d'un regard hagard, oscillant entre l'homme-loup, et le papier qu'il ne savait pas lire.
"Meautiffe de la visite?"

S'attendant visiblement à la question; l'homme-loup soupira.
"Nous sommes ici pour des raisons professionnelles; sur ordre du Baron Cromarcky."

Bonjour milicien,
Je suis le chevalier Hunter de Beauvengard, revenu des terres de l'est, éclaireur au service du Midgard.
Lèche-pas-ça est déjà venu ? Il m'a encore volé une pièce d'armure.

Salutations, Je me nomme Jobaard et je suis un éclaireur du Comté de Bain Sanglant

Kitsune
éclaireuse et archère


et actuellement touriste en visite sur les terres de bain sanglant

Kitsune a écrit:Kitsune
éclaireuse et archère


et actuellement touriste en visite sur les terres de bain sanglant

Entre deux charettes fouillées et plusieurs hommes laissés passer sans discussion ou presque, l'attention des douaniers fut interpellée par la jeune dame.

"-Touriste ? Tiens tiens, c'est intéressant ... Veuillez s'il vous plait nous SUIVRE mademoiselle, contrôle aléatoire à l'entrée de frontière siouplait ..."

Kaelha Neavyan , Kalhy pour les intimes

Mercenaire du soleil mort
disciple de tcherno
au service de la comtesse
Midgardienne

Je me présente Gervaise Duhoret, appartenant à la milice de Morneval sous le commandement du Capitaine Dubousin

Bien le bonjour cher garde!
Je suis Kageeri appelé aussi "L'elfe".
Je tiens avec mes compagnons le tripot le plus branché du Midgard : "Le Ghetto"
N'hésitez pas à venir nous voir après votre garde, je suis sûr que Fortuna vous sourira!

Salutations!

Je me nomme Linri, prêtre de Fortuna et résident du comté de Bain Sanglant!
Mes associés et moi sommes les heureux propriétaires du "Ghetto", vous êtes vous-même un habitué je pense?
Venez donc vous désaltérer chez bous après votre service et tenter votre chance à nos tables de jeu!

La bénédiction de Fortuna est sur vous!

Dorigan des Mc cailen!

*relève le kilt*

puis-je passer?

Traversant la frontière dans l'autre sens, Renan murmure entre ses dents: * Plus c'est gros, plus ça passe.....C'est bien connu *

Puis , tout haut: * Bien le bonsoir, capitaine... Je pars rejoindre mes terres...A très bientôt, j'espère.... *

Voici ma carte d'identité! *tend sa carte d'identité au garde*

Ah... Il fait trop sombre pour lire...

Et bien, je suis Eilydir Saïs, mieux connu sous le sobriquet de "tambour", fier Midgardien et musicien au service de notre Comtesse. Je suis sûr que vous avez déjà dû m'entendre...

Suite à la récente nomination du prieur Haynard de Noircens au poste de sergent de milice grâce à un entraînement plus que spartiate dirigé par le capitaine Dubousin, on se surprend à distinguer des moines armés tenir certaines frontières de Bain-Sanglant, et il n'est d'autant pas plus rare d'en voir certains se balader auprès des avants-postes les plus visités.

Or, il est en ce jour que notre bon moine, après de nombreuses repentances pour ses péchés auprès de l'Église de Grosby, passait par la.

Quelle ne fut pas sa surprise de voir celui dont son prieur lui avait conté l'efficacité et la pugnacité midgardienne, inspirant les troupes par son seul instrument. Il avança devant le jeune homme d'un air assuré et lui dit:
-Bonjour. Malgré l'absence de soupçons à votre égard, je vous prierais de bien vouloir me donner votre carte d'identité, merci.

"Après une lecture rapide du sus-cité document."

-Parfait, tout est en ordre, vous pouvez passer. Je vous suggère de passer faire un tour par la taverne du Poney lubrique si vous souhaiter profiter des divertissements locaux, ou si la marche ne vous fait pas peur, rien ne vous empêche d'allez faire un tour au monastère.

Abelia Eldrid

Archère et chasseuse, compagne de notre tambour du Midgard.... *mes oreilles...*
Soigneuse à mes heures
Au service de la Comtesse !

Bien le bonjour,

Chevalier Armand Henry d'Orseac, garde de Brumeval, prêtre de Valinoé et membre du comté de Caragern, je viens en visite dans votre magnifique comté.

Après une longue route, c'est sous les lumières orangées du soleil couchant que j'arrivai enfin aux portes du Midgard. J'avisai le garde qui me demanda tout naturellement de décliner mon identité, comme il se devait. Je lui présentai donc ma carte et ne manquai pas de lui redonner les informations oralement pour en confirmer la véracité :

Bonsoir,

Je me nomme Annabella de Beauregard, baronne de Beauregard, et je suis au service de la Comtesse.

J'attendis patiemment son autorisation, offrant à mon visage une brise légère grâce au bel éventail que je venais d'acquérir auprès d'un marchand oriental.

Tenant la bride du cheval de sa suzeraine, Lamenoire s'approcha du poste frontalier, visible au loin. On pouvait apercevoir une vingtaine de personnes attendant que la garde s'occupe d'eux. Passant à côté d'eux et les dépassant, Lamenoire les examina rapidement, leur accordant un bref regard.

Certains le regardèrent prêt à s'offusquer de se faire dépasser, mais la main de Lamenoire sur le pommeau de son épée les convainquit de pas lui adresser la parole.
Alors ... paysan, marchand, marchand, mercenaire ou aventurier, marchand, paysan, ... rien d'inquiétant à première vue. Bon sang, ce qu'ils puent!  

Un homme tapait scandale suite à une taxe qu'il n'avait pas prévu, hurlant à l'extorsion ... non, pas un homme: un homme-bête, une sous race.

Avec le bruit, Lamenoire sentit le cheval s'exciter un peu, et tint la bride plus fermement, forçant la monture à continuer à avancer d'un pas régulier, pour ne pas incommoder la vicomtesse. Arrivant au niveau de la dispute, Lamenoire fit arrêter la jument, et apostropha le garde, parlant d'une voix forte pour se faire entendre:

"SILENCE! Baron Lamenoire, j'escorte Dame Aéla Elin, Vicomtesse de Bain-sanglant chez elle."  

une fois l'attention acquise, et le silence obtenu, il regarda l'homme bête dans les yeux

"Nous ne comptons pas nous arrêter, le voyage a été long et nous ne désirons que rentrer au plus vite, mais je peux prendre le temps de m'occuper de cette engeance si vous le désirez, sergent. Un simple coup de dague, l'affaire sera réglée."

Exténuée mais tentant malgré tout de garder un allure digne de son noble sang,
la vicomtesse ne prêta guerre attention au remue ménage du poste frontalier
jusqu’à ce que le baron fasse arrêter sa monture.

" Que ce passe t'il? Ne nous attardons pas Lamenoire! "

la vicomtesse analysa la situation.

"Baron veuillez ne pas assouvir votre soif de sang en ma présence, je suis sure que le sergent gères parfaitement bien la situation. Allons-y, j'aimerais remettre mes égards à la comtesse et la prévenir de mon retour en Bain Sanglant."

d'un coup de talon elle mit son cheval en marche.